Le saviez-vous ? Chaque année, plus de 75 000 personnes perdent la vie des suites d’une affection liée à la consommation de la cigarette dans l’hexagone. Oui ! Le tabac tue réellement. En effet, le fait de fumer accroit le risque de maladies comme le cancer (cancer du poumon, de poumon, de pancréas, reins, vessie, utérus…), des maladies cardio-vasculaires, des maladies respiratoires, des infections bucco-dentaires, etc.
Si vous êtes donc un fumeur, c’est le moment de prendre conscience de ses conséquences sur votre santé afin de vous libérer de ce problème. Mais comment y arriver ? Puisqu’il ne faut pas se mentir, il est très difficile d’arrêter de fumer. C’est un processus auquel il faut être préparé pour espérer avoir de meilleurs résultats.
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Encore faut-il encore trouver la bonne méthode. Ici, vous pourrez trouver la meilleure alternative aux cigarettes pour préserver votre organisme.
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L’e-cigarette
Parmi les nombreuses techniques qui existent pour tenter un sevrage tabagique, la cigarette électronique rencontre particulièrement un succès fou. Plusieurs études des professionnels spécialisés dans la tabacologie ont confirmé que les individus qui passent au vapotage, fumaient en moyenne 37 % de cigarettes en moins que d’habitude.
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Cette méthode permet donc de réduire votre envie de fumer et à long terme de mettre fin à la consommation du tabac. Pour ceux qui n’en ont jamais entendu parler, l’e-cigarette est un dispositif électronique qui chauffe un liquide aromatisé. Celui-ci se transforme en vapeur que vous pouvez inhaler. Le principal avantage de cette méthode est qu’elle n’entraîne pas de combustion.
De ce fait, vous êtes épargné des effets irritants et/ou toxiques des cigarettes. Cependant, le geste de porter la main à la bouche est conservé. Envie d’acquérir une vapoteuse d’excellente qualité ? Il vous suffit de vous rendre dans une boutique pour fumeur pour trouver des e-cigarettes très performantes qui vous permettront de vivre des sensations exquises.
Les substituts nicotiniques
La principale difficulté à laquelle l’on est confronté lorsqu’on prend la décision de mettre fin à la cigarette est de surmonter le manque de nicotine dont l’organisme est devenu dépendant. Et c’est là qu’interviennent les substituts nicotiniques. Disponibles sous diverses formes (Patchs, gommes, pastilles, chewing-gum, spray), ces produits sont indispensables pour maximiser vos chances de succès à l’arrêt du tabac.
Grâce aux substituts nicotiniques, vous être l’abri de l’angoisse, la dépression, l’irritabilité, la nervosité, les problèmes de concentration et les troubles du sommeil qui ne sont rien d’autre que des symptômes liés manque de nicotine.
L’hypnose
L’hypnose est une médecine douce qui serait également efficace dans la prise en charge médicale du sevrage tabagique. Cette technique est basée sur le mécanisme de la suggestion et le concept de l’empreinte. En effet, considérant qu’il existe en chaque fumeur une part qui souhaite se libérer un jour de l’emprise du tabac, l’hypnothérapeute cherche à amplifier cette pensée (aussi infirme qu’elle soit).
Différents niveaux d’approche peuvent être utilisés par le praticien :
- la suggestion directe : il suggère directement au fumeur de changer son comportement vis-à-vis du trouble ;
- Modifier la perception du comportement de dépendance.
- la progression dans le futur : l’hypnose est utilisée pour faire visualiser au patient un avenir sans tabac ;
- la technique aversive : tabac = nausée ;
- l’hypnose éricksonienne : elle repose sur des métaphores, de suggestions indirectes et d’ordres cachés.
Notez que l’efficacité à long terme de cette solution naturelle pour l’arrêt du tabac n’est cependant pas prouvée scientifiquement. On vous conseille donc d’utiliser cette technique en complément avec méthodes suscitées.
Vous pouvez également vous faire aider par des thérapies cognitivo-comportementales. Ces dernières permettent de travailler sur les aspects psychologiques, comportementaux et sociaux de votre addiction au tabac.
Bon à savoir : après une durée de 15 ans d’arrêt de tabac, le risque de mortalité du fumeur devient identique à celui d’un individu qui n’a jamais touché à la cigarette.